Corrèze, pays de souvenirs

Ou plus exactement le Limousin, la vieille maison familiale où l’on se retrouvait à Pâques, l’immense cheminée, les parties de petits chevaux avec la vieille tante Pauline, la pêche dans les torrents avec l’oncle Pierre.

La vie ordinaire de gens extraordinaires ...

Voilà exactement comment je ressens les choses aujourd’hui, avec le cœur au bord des yeux et dans la tête une vieille chanson de berger.

Je me battais avec les garçons dans des championnats de ricochets. Une bande de » sales mioches », voilà ce qu’on était, mais quand je dis « sales mioches », il y a toute la tendresse de ces années là qui remonte.

Quand la cloche sonnait quatre heures à l’église du village, nous enfourchions nos vélos et c’était au premier arrivé chez la Tante. Avec quatorze cousins, c’était une aventure !

Le chocolat chaud était le bienvenu. Il faisait souvent encore très froid à Pâques. J’ai vu des chasses aux oeufs dans la neige.

Et puis il y avait mon refuge … dans une maison plus loin, un vieil homme et son chien et

Juchepie, Chantecaille .. les années heureuses !

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