La bienveillance

Bienveillance…

Le grand mot est lâché, il reste à ne pas le galvauder. La bienveillance, quand elle est bien appliquée, n’empêche ni l’efficacité dans le travail, ni les relations humaines, ni le respect qui s’impose dans toutes formes de collaboration.

Elle rassemble, dans un même élan d’altruisme, les acteurs du quotidien, jusque dans la sphère professionnelle et sociétale.

La bienveillance ne se monnaie pas. Elle se doit d’être naturelle ou elle n’existe pas. Elle consiste entre autres, à offrir sa chance à tout individu en tous domaines, évitant ainsi de ramener les efforts personnels de chacun à une forme de mendicité.

Elle ne doit pas pousser à combattre pour survivre. Elle doit encourager et se tenir loin des paroles vexatoires, des mesures inappropriées, des diatribes et autres violences larvées, qui la désagrègent.

La tolérance a ses limites, la bienveillance n’en n’a pas. C’est une opinion personnelle et pas du tout une vérité assénée.

Et surtout elle ne doit en aucun cas être fille du simple marketing.

Sans mettre qui que ce soit en cause, il serait bon que la bannière « Bienveillance » soit partout remise à l’endroit, et promptement.

Bonne soirée !

Annie Kubasiak-Barbier

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