A ma Voyageuse

 

J’aimerai la fraîcheur, j’aimerai l’innocence d’un matin de printemps quand l’aube délicate lève son voile de dentelle sur l’espérance d’un jour nouveau. 

Je l’imagine alors posée là au creux de la rosée telle une fleur gorgée de vie et je l’entends rire et je l’entends chanter. 

Elle a dans le regard tous les bleus du monde, celui des océans et des cieux lointains et au creux de ses mains la promesse de demain…

Mais il est des rêves que l’on cueille et qui s’étiolent…

Annie K.Barbier – La voyageuse sur le banc

 – avec Sylvie Mertz.

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